Gabon : Le gouvernement rejette les accusations de torture et de séquestration de la famille Bongo
Le gouvernement gabonais a réagi avec fermeté aux récentes accusations de torture et de séquestration formulées par la famille de l’ex-président Ali Bongo Ondimba.
La ministre gabonaise de la Communication et porte-parole du Gouvernement, Laurence Ndong, a qualifié ces allégations de « sans fondement » et a dénoncé une tentative de pression sur la justice ainsi qu’une atteinte à l’image des nouvelles autorités.
Dans une déclaration diffusée sur la chaîne nationale « Gabon 1ère », Laurence Ndong a affirmé que le gouvernement se réservait le droit d’intenter des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces accusations qu’elle a qualifiées de « calomnieuses et mensongères ». Cette réaction ferme vise à défendre l’intégrité de l’État gabonais et à protéger sa réputation sur la scène internationale.
Les nouvelles autorités du Gabon sont déterminées à faire respecter l’ordre juridique et à lutter contre toute tentative de manipulation de l’opinion publique. En menaçant de poursuites judiciaires, le gouvernement envoie un message clair selon lequel de telles accusations ne seront pas tolérées et seront traitées avec la plus grande rigueur.
Cette affaire met en lumière les tensions persistantes au sein du pays après la transition politique. Les autorités gabonaises sont confrontées à des défis multiples, mais elles restent résolues à faire prévaloir l’État de droit et à garantir la stabilité du pays dans le respect des droits fondamentaux de tous les citoyens.
Le gouvernement gabonais affirme sa détermination à défendre son intégrité et à réfuter toute accusation infondée. La réponse ferme de Laurence Ndong souligne l’engagement des nouvelles autorités à faire face aux défis avec détermination et transparence.